La réduction de 10 à 5 m et de 5 à 3 m des distances d’épandage de pesticides dans le voisinage de zones d’habitations ou accueillant des groupes de personnes vulnérables ne présente pas un risque imminent pour la santé et ne compromet pas davantage la concertation promise aux populations concernées, affirme le juge du référé-liberté du Conseil d’État. Ces réductions auraient dû être précédées d’une charte...