accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Délit de favoritisme : pas d’infraction pour celui qui intervient trop tard et sans savoir

Jurisprudence

Bien que non publié, cet arrêt permet de rappeler que le délit de favoritisme requiert que l’acte accompli par l’agent public soit objectivement caractérisé par une violation des règles de la commande publique afin de conférer à autrui un avantage injustifié (C. pén., art. 432-14). D’habitude, l’infraction est facilement caractérisée par la jurisprudence (appréciation extensive de la qualité d’agent public, réduction de l’élément matériel à la seule violation de la réglementation et présomption de mauvaise foi pesant sur le prévenu). Cette fois-ci, à l’issue d’un contrôle rigoureux, la Cour de cassation a considéré que le délit de favoritisme ne peut être retenu à l’encontre de celui qui est intervenu postérieurement à la violation de la...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit