La société d'assurance mutuelle est condamnée à payer 5 000 € de dommages-intérêts à chacun des deux joueurs de tennis professionnels. Ils font valoir que la société a diffusé un spot publicitaire faisant référence tant à leurs patronymes qu'à leur qualité au travers de différents jeux de mots et du bruit d'échanges de balles de tennis en arrière-plan sonore. S'il est vrai qu'il n'existe pas de "droit absolu et...