accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Pas de manquement au devoir d'information pour le banquier en l'absence d'erreur sanctionnable affectant le TEG

Jurisprudence

En l'absence d'erreur sanctionnable affectant le taux effectif global (TEG), c'est à tort que la banque a été condamnée pour manquement à son devoir d'information. En effet, le résultat du calcul du TEG doit être exprimé avec une exactitude d'au moins une décimale, cette marge d'erreur étant applicable aux crédits immobiliers. Or, l'erreur invoquée est d'un millième. Enfin, la pratique de l'année lombarde est sanctionnable uniquement lorsqu'elle conduit à une erreur du TEG supérieure à la décimale ce qui n'est pas établi. Il en résulte que l'erreur affectant le TEG du crédit immobilier litigieux ne peut être sanctionnée que par la déchéance totale ou partielle du droit aux intérêts, de sorte que la demande d'annulation de la stipulation...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit