accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Le Conseil d'État apporte de nouvelles précisions sur la convention franco-brésilienne

Jurisprudence

Dans une première décision du 11 décembre 2020 (CE, 8e et 3e ch., 11 déc. 2020, n° 440307, concl. K. Ciavaldini : Dr. fisc. 2021, n° 27, comm. 310 ; V. Convention franco-brésilienne, article 13 : l'État de résidence peut également imposer une plus-value immobilière imposable dans l'État de situation du bien), le Conseil d'État s'était penché sur les ambiguïtés de la convention fiscale franco-brésilienne s'agissant de la répartition entre États du pouvoir de taxer les gains provenant de l'aliénation de parts ou de droits analogues dans une société dont l'actif est composé principalement de biens...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit