accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

La carence du contrôle de l'inspection du travail : responsabilité de l’État pour faute simple

Jurisprudence

L'absence de contrôle pendant dix ans, par l'inspection du travail, d'un chantier naval où les travailleurs étaient exposés à des poussières d'amiante engage la responsabilité de l'État pour faute simple. Sous réserve, bien entendu, que le plaignant justifie d'un préjudice directement en lien avec cette faute. Dans la présente affaire, le dommage invoqué reposait sur la crainte de la personne employée sur le chantier de développer une pathologie consécutive à l'amiante. Mais, la carence fautive de l'inspection du travail n'était pas immédiate et n'était apparue qu'à l'issue d'un certain délai. En outre, le préjudice ne trouvait pas sa cause directe dans la faute des services de l'État. L'action en réparation est donc...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit