accordion-iconalert-iconarrow-leftarrowarticleShowedbacktotopCreated with Sketch. bookmarkcall-iconcheckchecked-iconclockclose-grcloseconnexion-iconfb-col fb-footer-iconfb-iconfb feedMark__icon--radiofeedMark__icon--starPage 1Created with Avocode.filterAccordion-arrowgoo-col headerBtn__icon--connecthomeinfo-blueinfo insta-1 instalank2IconCreated with Avocode.lglasslink-2linklink_biglinkedin-footer-iconlinkedin-iconlinkedin Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon lock-bluelockmail-bluemail-iconmailnot_validoffpagenavi-next-iconpdf-download-iconplus print-iconreadLaterFlagrelatedshare-icontagsLink-icontop-pagetw-col tw-footer-icontw-icontwitter unk-col user-blueuseruserName__icon--usernamevalidyoutube-footer-iconyoutube Svg Vector Icons : http://www.onlinewebfonts.com/icon

Appréciation de l'anormalité par « risque faible » d'un préjudice dans le cadre d'une responsabilité hospitalière non fautive

Jurisprudence

C'est par ces mots « la jurisprudence Bianchi a vécu » que s'ouvrent les conclusions de la rapporteure publique Cécile Barrois de Sarigny sur la décision ici exposée. L'anonymisation automatique des parties emporte que le texte commence par « la jurisprudence B. a vécu » ce qui n'éclaire personne mais – heureusement – des références contentieuses suivent et ne permettent plus aucun doute (CE, ass., 9 avr. 1993, n° 69336 : JurisData n° 1993-040975 ; JCP G 1993, II, 22061, note J. Moreau). La décision Bianchi et sa proclamation militante d'une responsabilité sans faute des établissements hospitaliers lors d'aléas médicaux a effectivement « vécu » et a été transformée puis affinée tant par les juges administratif et judiciaire que par le...

Déjà abonné ? Identifiez vous

La suite de cet article est réservée aux abonnés

  • Les veilles des 13 fils matières en illimité
  • Veille quotidienne exhaustive
  • Alertes en temps réel
  • Newsletter à la fréquence de votre choix
  • Personnalisation de l'interface

Demander un essai gratuit